Pour le monde entier, Jean-Luc Godard est synonyme de cinéma. Depuis son décès, le grand public comme les plus fins connaisseurs de son oeuvre gigantesque savent que c'est la fin d'une période, que s'achève avec lui une époque où le cinéma était encore au centre de la société, le divertissement préféré de tout le monde, à la fois industriel et personnel, commercial et expérimental, spectaculaire et capable de profondeur. Le parcours de Godard, fait de brusques décrochages et de retours fracassants, est unique. Godard ne s'est jamais retourné sur son passé et n'a jamais cessé d'expérimenter.
Jean-Luc Godard, c'est le cinéma, sa quintessence. A tout juste 91 ans, il a réalisé plus de 140 films. C'est un personnage public autant qu'un homme enveloppé de mystère. Il n'est pas facile de s'emparer d'un géant aussi légendaire et énigmatique. L'itinéraire de Godard ne suit qu'une seule direction : un renouvellement constant de son art. Il voit l'acte créatif comme un acte nécessaire de critique et de déconstruction. Ce portrait veut nous emmener au-delà des clichés d'un mythe devenu parfois caricatural, à la rencontre d'un homme plus sentimental qu'il n'y paraît, un homme habité, parfois dépassé, par son art.
Le récit éblouissant du passage à l’âge adulte de Stephen Curry, l'un des joueurs les plus influents, les plus dynamiques et les plus surprenants de l'histoire du basket-ball, et de son accès au titre de quadruple champion en NBA, après avoir été un joueur au corps gracile à l’université.
France, 1974. Le film érotique « Emmanuelle », réalisé par Just Jaeckin, bat tous les records de fréquentation des salles de cinéma : l'histoire de la création d'une épopée sensuelle qui a marqué un tournant dans la lutte pour l'émancipation sexuelle.
Six savants, membres du Club des Astronomes, entreprennent une expédition qui doit les conduire sur la lune. C’est le synopsis du premier film de science fiction de l’histoire, « Le Voyage dans la Lune » de Georges Méliès. Ce documentaire raconte l'incroyable aventure du siècle et le défi de la restauration la plus complexe de l'histoire du cinéma.
De nombreux endroits en France ont été immortalisés dans des films devenus cultes. Des années après la sortie de ces longs métrages, ces lieux de tournage font désormais partie du patrimoine tant ils ont laissé leur empreinte sur la pellicule. Grâce à des grands classiques du 7ᵉ Art, comme « Un homme et une femme », « Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain », « Bienvenue chez les Ch'tis » ou encore « Les Demoiselles de Rochefort », la France est devenue un décor de cinéma.
Première femme réalisatrice, productrice et directrice de studio de l’histoire du cinéma, Alice Guy est le sujet d’un documentaire mené tambour battant telle une enquête visant à faire (re)connaître la cinéaste et son œuvre de par le monde.
En 1988, le cinéaste allemand Volker Schlöndorff s'est assis avec le légendaire réalisateur Billy Wilder (1906-2002) dans son bureau de Beverly Hills, en Californie, et a allumé sa caméra pour une série d'entretiens filmés.
À travers l’histoire d’une carrière de cinéaste déjà iconique marquée par 8 films cultes, de Reservoir Dogs à Hateful 8, QT8 remonte la filmographie de Quentin Tarantino, le réalisateur le plus vénéré de ces 30 dernières années
Figure marquante du cinéma, Alfred Hitchcock a produit une kyrielle de chefs d'œuvre. A partir d'interviews et d'images d'archives, ce documentaire dresse le portrait de celui que l'on surnomme "le maître du suspense", également connu pour son caractère difficile et ses rapports conflictuels avec ses équipes. Ce réalisateur de génie, un brin excentrique, a fait voler en éclats les règles conventionnelles du cinéma. Mais quelles furent ses influences ?
Kirsten Johnson, directrice de la photo depuis plus de 25 ans (ayant travaillé sur des documentaires tel que Citizenfour, La Guerre Invisible, The Oath et de nombreux autres), partage avec nous un journal composé de rushes de ses nombreux tournages, pour tenter de comprendre ce que signifie le fait de voir le monde à travers un objectif..
Un documentaire dressant le portrait de Tim Treadwell, un écologiste controversé et charismatique, et de sa compagne Amie Huguenard, qui trouvèrent tous deux la mort, mutilés par des ours dont ils assuraient la protection.