A documentary exploring the birth, death and resurrection of illustrated movie poster art. Through interviews with a number of key art personalities from the 70s and 80s, as well as many modern, alternative poster artists, “Twenty-Four by Thirty-Six” aims to answer the question: What happened to the illustrated movie poster? Where did it disappear to, and why? In the mid 2000s, filling the void left behind by Hollywood’s abandonment of illustrated movie posters, independent artists and galleries began selling limited edition, screenprinted posters — a movement that has quickly exploded into a booming industry with prints selling out online in seconds, inspiring Hollywood studios to take notice of illustration in movie posters once more.
Agnès Varda et JR ont des points communs : passion et questionnement sur les images en général et plus précisément sur les lieux et les dispositifs pour les montrer, les partager, les exposer. Agnès a choisi le cinéma. JR a choisi de créer des galeries de photographies en plein air. Quand Agnès et JR se sont rencontrés en 2015, ils ont aussitôt eu envie de travailler ensemble, tourner un film en France, loin des villes, en voyage avec le camion photographique (et magique) de JR. Hasard des rencontres ou projets préparés, ils sont allés vers les autres, les ont écoutés, photographiés et parfois affichés. Le film raconte aussi l’histoire de leur amitié qui a grandi au cours du tournage, entre surprises et taquineries, en se riant des différences.
L’incroyable histoire d’une mystérieuse inconnue, photographe reconnue aujourd’hui comme l’une des plus grandes Street Photographers du 20ème siècle. Née à New York, d’une mère française, avant de résider à Chicago, Vivian Maier était inséparable de son Rolleiflex et prit tout au long de son existence plus de 100 000 photographies sans jamais les montrer. Pour être libre d’exercer son art quand elle le voulait, Vivian Maier fut une nanny excentrique toute sa vie. ..
Nan Goldin a révolutionné l’art de la photographie et réinventé la notion du genre et les définitions de la normalité. Immense artiste, Nan Goldin est aussi une activiste infatigable, qui, depuis des années, se bat contre la famille Sackler, responsable de la crise des opiacés aux États-Unis et dans le monde. Toute la beauté et le sang versé nous mène au cœur de ses combats artistiques et politiques, mus par l’amitié, l’humanisme et l’émotion.
Ce documentaire, principalement centré sur Hayao Miyazaki, Isao Takahata et Toshio Suzuki, suit le trio pendant la production des longs métrages Le vent se lève et Le conte de la princesse Kaguya.
Ce documentaire montre l'évolution des "Sociétés Anonymes" (appelées Corporations en anglais) aux USA, reprenant leur histoire depuis leur apparition avec la Révolution industrielle, où elles étaient conçues pour répondre au bien public mais furent détournées de cet objectif par la recherche du profit.
Du nom de la célèbre police créée par Max Miedinger en 1957, « Helvetica » est un documentaire de Gary Hustwit sur la typographie, le graphisme et plus généralement l’inscription des polices dans notre univers urbain quotidien. Pour ce film, le réalisateur a rencontré les graphistes et designers parmi les plus innovants de la scène internationale (Wim Crouwel, Erik Spiekermann, Jonathan Hoefler, Neville Brody, Stefan Sagmeister, Massimo Vignelli, Matthew Carter, etc.), et il les a questionnés sur leur utilisation de la typographie, leur travail et leur processus de création.
Après avoir exposé la malbouffe dans Supersize Me, Morgan Spurlock s’attaque à son gagne-pain en révélant tous les vilains petits secrets d’Hollywood ainsi que tous les stratagèmes utilisés pour convaincre les annonceurs de placer leurs produits dans les films ou à la télévision. Ce fou de documentaires controversés utilise son sens inimitable de la comédie pour s’infiltrer dans les salles de conférence de grandes entreprises et les réunions brainstorming d’agences de publicité afin de les pousser à dévoiler la face cachée du monde publicitaire…
Dans les pays occidentaux, on peste contre des produits bas de gamme qu'il faut remplacer sans arrêt. Tandis qu'au Ghana, on s'exaspère de ces déchets informatiques qui arrivent par conteneurs... Ce modèle de croissance aberrant qui pousse à produire et à jeter toujours plus ne date pas d'hier. Dès les années 1920, un concept redoutable a été mis au point : l'obsolescence programmée. "Un produit qui ne s'use pas est une tragédie pour les affaires", lisait-on en 1928 dans une revue spécialisée. Peu à peu, on contraint les ingénieurs à créer des produits qui s'usent plus vite pour accroître la demande des consommateurs.