Films italiens

C'est l'histoire de Benedetta, 16 ans, et d'une étrange famille d'accueil. Benedetta est la fille du maire et son rôle social est mis à l'épreuve.

Le film fait partie de la Sélection Officielle Cannes 2020 Le documentaire suit le quotidien de vieux chasseurs de truffes italiens accompagnés de leur fidèle chien truffier face à ce que représente l'or noir sur le marché économique.

Lena est enceinte de sept mois et elle est prête à vendre le bébé dans son ventre. Ermanno accepte de prétendre être le père. Fabio, l'oncle d'Ermanno, la paiera pour acheter l'enfant que lui et sa femme Bianca ne peuvent pas avoir. Une fausse adoption entre parents, une échappatoire permettant de contourner la loi, car en Italie la maternité de substitution est interdite. Un monde dans lequel l’argent est la seule norme de valeur, la seule chose qui compte. Ermanno et Lena sont deux étrangers qui doivent prétendre en public être un couple et vivre ensemble jusqu'à l'accouchement. Ils ont l'habitude de ne penser qu'à eux-mêmes et ils se battent tout le temps. Mais vivant côte à côte, ils commencent à devenir ce qu’ils prétendaient être.

Après avoir été dévasté par une épidémie mortelle, le monde est désormais régi par des hordes de morts-vivants. Enfermé dans une forteresse qui a été transformée en un centre de recherche et d'abri, trois hommes chasseurs de zombies, Igor Alen et un scientifique du nom de Gyno vont essayer de trouver une réponse à ce qui s'est passé pour la race humaine.

Une blogueuse de voyage agoraphobe et un journaliste de télévision alcoolique s'embarquent dans un voyage à travers l’Europe en quête de lieux abandonnés.

Anna, infirmière sculpturale aux thérapeutiques sensuelles est engagée par les neveux d'un riche négociant en vins, Léonida, pour charmer ce dernier et provoquer une crise cardiaque qui leur ferait hériter d'une coquette somme d'argent.

À l’occasion du vingtième anniversaire de la disparition d’il Maestro, Qu’il est étrange de s’appeler Federico est un film hommage à Federico Fellini, à son art, sa personnalité. Ettore Scola fait revivre leur rencontre au journal Marc’Aurelio dans les Années 50, leurs amis communs, parmi lesquels Marcello Mastroianni, et surtout le plaisir partagé de faire des films.