En France, une femme sur trois avorte au cours de sa vie. Si cet acte médical est un droit depuis 1975, le sujet reste délicat. Celles qui en parlent s'exposent aux commentaires ambigus et parfois aux jugements. Ce film documente la libération de la parole et la prise de conscience nécessaire pour briser le silence autour de l'avortement. Il raconte le bouleversement intime et social que peut provoquer encore actuellement un avortement. Léa Bordier a recueilli les récits de celles qui l'ont vécu pour briser le tabou qui s'est installé en France autour de l'avortement depuis sa légalisation.
Kamyl est un jeune accro aux réseaux sociaux. Alors qu'il n'arrive toujours pas à concevoir que son compte Instagram a été bloqué à cause d'une bêtise commise en plein live, il est contraint de participer à une réunion "d'addicts anonymes". Cependant, lors de cette réunion Kamyl va prendre au premier degré les métaphores de la psy, qui lui suggère de se réveiller de ce monde virtuelle. Pensant alors vivre un rêve, il va faire tout son possible pour se réveiller afin de de récupérer son compte.
Dans les années 80, le sud de la France vit une révolution culturelle. Mode, sport, musique… La culture américaine va marquer de son empreinte toute la région. Le film nous plonge dans cette époque unique, capturant l’essence de la fascination pour cette décennie.
Septembre 1982, des élèves entrent en 3ème au collège Gambetta à Cahors. Ils sont vingt-six, nés en 1968, pour la plupart loin des barricades. Au même moment, la France, et le département du Lot avec elle, commence à brader les utopies des années 70 et l'insouciance des Trente Glorieuses pour prendre le tournant de la rigueur et s'enfoncer dans cette crise dont nous ne sommes toujours pas sortis. C'est cette année-pivot que le film "Nos années menthe à l'eau" fait revivre grâce aux souvenirs des anciens de la 3ème F, entre la nostalgie des rêves d'adolescents et la réalité de la vie d'adulte.
Jorge Semprún, né en 1923 et décédé en 2011, était un homme de son temps, dont la vie et l'œuvre étroitement mêlées, ont été portées par le souffle de l'histoire. Cette implication dans les combats d'un siècle rend le parcours de cet écrivain espagnol singulier. Jorge Semprún a tenu le stylo et la mitraillette, connu les honneurs des palais officiels et l'horreur des camps. Il a traversé la guerre civile espagnole, la montée du fascisme, l'occupation et la Résistance, la déportation et l'internement à Buchenwald, l'engagement communiste puis le combat antitotalitaire.
Le slow est un rituel en voie de disparition. À travers l'évocation du genre musical sans équivalent, Slow : une histoire d'amour raconte comment une simple danse a codifié les rencontres amoureuses depuis la seconde moitié du 20è siècle. Exploration sensitive unique, ces quelques minutes sur la piste qui marquent profondément au coeur, révèlent notre histoire du rapport à l'autre dans ce qu'il a de plus intime et de plus universel.
De nombreux endroits en France ont été immortalisés dans des films devenus cultes. Des années après la sortie de ces longs métrages, ces lieux de tournage font désormais partie du patrimoine tant ils ont laissé leur empreinte sur la pellicule. Grâce à des grands classiques du 7ᵉ Art, comme « Un homme et une femme », « Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain », « Bienvenue chez les Ch'tis » ou encore « Les Demoiselles de Rochefort », la France est devenue un décor de cinéma.
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